L'ATIE membre au Forum des associations africaines d’intelligence économique


L'association Tunisienne d'Intelligence Economique a pris part  à l’ouverture des travaux de la rencontre africaine organisée du 3 au 6 mai par l’université ouverte de Dakhla sous le Haut Patronage de sa Majesté le Roi Mohammed VI, sous le thème «L’intelligence économique en Afrique : expériences nationales et partenariats africains».

Lors du Forum,  les représentants de sept pays africains, à savoir le Maroc, la Côte d’Ivoire, le Congo, le Niger, le Sénégal, le Tchad et la Tunisie ont signé une convention pour l'institution d'un "Forum des associations africaines d’intelligence économique", une sorte de plateforme qui aura le statut d’association internationale.

ce forum a pour vocation de contribuer à la promotion de l’intelligence économique en Afrique et de diffuser auprès des entreprises, des administrations, des territoires, des universités et des centres de recherches la connaissance scientifique relative à l’intelligence économique et à la veille stratégique.

Le Forum sera également un espace pour développer les échanges et partager les savoirs et savoir-faire entre les associations membres et mener des études et des recherches en intelligence économique et en veille stratégique. Ce qui permettra de mettre à la disposition des opérateurs et des acteurs les documents électroniques susceptibles de favoriser le développement de la connaissance et des applications des méthodes et outils de l’intelligence économique.



L'ATIE, représentée par mr Kais MEJRI, secrétaire Général de l'association, a présenté l'état de lieu de la pratique de l'intelligence économique en Tunisie ainsi que le défi et le plan d'action pour y développer 



L’intelligence économique au Maghreb Arabe : Etat de l'art et pistes de réflexions


Salma ELBOURIMI et Mustapha BELAISSAOUI  lors du "4th International Conference on Business, Economics, Marketing & Management Research" (Monastir-Tunisia/4-6 November 2016 ) présentent l'Etat des lieux de l'intelligence économique au pays du Maghreb

Abstract

L'intérêt pour l'intelligence économique au Maghreb Arabe est récent, des d'initiatives appréciables ont étés accomplies, mais elles demeurent critiquables, faute d'outils et de moyens consacrés, de maîtrise de concepts, de formation adaptée, et absence d'un cadre institutionnel favorisant son développement. C'est dans cette optique que cette communication tentera de présenter l'état de l'art des pratiques de l'intelligence économique, en Tunisie, Algérie et Maroc, les freins qui s'opposent , et proposer par la suite des pistes de réflexions pour les dépasser.

Lire la Suite : 
https://www.researchgate.net/publication/311650078_L'intelligence_economique_au_Maghreb_Arabe_Etat_de_l'art_et_pistes_de_reflexions

ALGERIE Géopolitique du pétrole ALGERIE - Rep A GHANO

Géopolitique Du Gaz

Géopolitique du pétrole

Géopolitique du pétrole (Travail d'analyse)

Business Intelligence 3.0

History of Business Intelligence

What is Business Intelligence? Listen to a brief history of BI, where we've been, where we are now, and where we are going.










What is Business Intelligence?

Doc-Guerre (FR)-Reportage France 5-Chine-USA,une Guerre Sans Limite

Documentaire complet: A Qui Profite Le Printemps Arabe - Entier 2013

Les deux États les plus puissants du Golfe, le Qatar et l'Arabie-Saoudite, craignent que les mouvements démocratiques nés au cours du printemps arabe ne se propagent chez eux. C'est pourquoi ils se partagent les zones d'influence et soutiennent partout les groupes islamistes les plus extrémistes. En Égypte, les salafistes reçoivent des fonds de l'Arabie saoudite et les Frères musulmans des subsides du Qatar. Si ce pays a massivement investi sur les bords du Nil, ce n'est pas par philanthropie. 

La Libye se laisse moins facilement manipuler car elle s'appuie sur sa manne pétrolière et sur des tribus plus fortes que les groupes religieux. En Tunisie, le parti Ennahda, émanation des Frères musulmans, a triomphé aux élections, mais une partie de la population commence à se révolter contre l'islamisation forcée de la société. 

Dans la bande de Gaza, l'émir du Qatar fait cause commune avec le Hamas et prétend offrir 400 millions de dollars pour la reconstruction de cette région sinistrée. Mais c'est actuellement en Syrie que l'ingérence des États du Golfe semble la plus forte. Il s'agit de financer l'insurrection sunnite et l'instauration d'un gouvernement fondamentaliste qui fasse rempart à l'Iran chiite. Sur le terrain, les réalisateurs ont rencontré des femmes, des syndicalistes et des journalistes qui essaient de lutter contre l'emprise néfaste des grands frères si riches et si "généreux".